Les prises de sang sont très utiles chez les humains et animaux pour diagnostiquer des maladies. Les insectes, comme les abeilles, peuvent aussi tomber malades, mais il est plus délicat de récolter leur sang (nommé hémolymphe chez les insectes). Cette vidéo explique comment on peut récolter l’hémolymphe de façon efficace et sans douleur pour diagnostiquer les maladies pouvant atteindre la colonie. Les abeilles utilisées sont euthanasiées à la fin de cette procédure, nécessaire pour obtenir des informations précieuses afin d’établir l’état de santé du rucher.

Première mondiale : un chat dans un élevage avicole en France contaminé par la grippe aviaire en décembre dernier! Découvrez comment cette problématique affectera le Québec à travers le regard de Carl A. Gagnon, professeur à la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et directeur scientifique du Laboratoire de diagnostic moléculaire et de virologie animale.

Entrevistaremos a Marcelo Gottschalk (Université de Montréal), uno de los mayores expertos en S. suis, quien nos dará las claves para afrontar esta enfermedad en #porcino. ✅🐖

Ayer tuvimos el honor de entrevistar a Marcelo Gottschalk, Director del Laboratorio de Referencia de Pleuroneumonía porcina y del Laboratorio de Referencia Internacional para streptococcus suis. Nos explica cómo podemos afrontar con éxito a Actinobacillus pleuropneumoniae y Streptococcus suis, dos patógenos muy importantes para el sector porcino. Si quieres ver entrevistas como estas en directo, siguenos en nuestro perfil de instagram: @porcinews_revista. Síguenos también en: - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - ► Facebook - PorciNews España y PorciNews Latam ► Twitter - @porciNews ► Linkedin - porciNews Revista ► Instagram: @porcinews_revista ► WEB - https://porcino.info// ► EMAIL - info@agrinews.com - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

Les microbiologistes isolent et analysent les bactéries. Ils peuvent les identifier et vérifier à quel antibiotique elles sont résistantes ou sensibles. L'analyse pour orienter le choix du bon traitement antibiotique sera alors envoyé au vétérinaire praticien. Merci au support financier du CRIPA-FRQNT et du fonds de Mobilisation des connaissances - Projets spéciaux du VRRDCI - UdeM pour la réalisation de ces vidéos. Merci au MAPAQ et au Service de diagnostic de nous avoir permis de tourner la vidéo. Équipe de réalisation de l'Université de Montréal Réalisateurs : Dre. Marie-Odile Benoit-Biancamano et Pr. Olivier Asselin Scénariste, graphiste et édition vidéo : Chélanie Beaudin-Quentin, étudiante MSc en art visuel Équipe de Montage sonore et vidéo pour oculus 360 : Joel Lehman, Yassine Ahmad et Serge Fortin Guides et figurants: Personnel du Service de diagnostic de la Faculté de médecine vétérinaire et du MAPAQ. Administration : Cécile Crost Coordonatrice du CRIPA

Une fois qu'on a ciblé les organes ou tissus anormaux à analyser, ils sont ''fixés'', découpés et colorés pour détecter par microscopie des anomalies au niveau cellulaire. Les cellules sont les briques qui composent la structure des organes comme dans les maisons. On peut voir des bactéries de cette façon ou des cellules endommagées par d'autres microbes non visibles au microscope. Ainsi on sait alors quels types de cellules sont affectées par le microbe et dans quel échantillon de tissu chercher le microbe pour l'identifier et l'isoler. Merci au support financier du CRIPA-FRQNT et du fonds de Mobilisation des connaissances - Projets spéciaux du VRRDCI - UdeM pour la réalisation de ces vidéos. Merci au MAPAQ et au Service de diagnostic de nous avoir permis de tourner la vidéo. Équipe de réalisation de l'Université de Montréal Réalisateurs : Dre. Marie-Odile Benoit-Biancamano et Pr. Olivier Asselin Scénariste, graphiste et édition vidéo : Chélanie Beaudin-Quentin, étudiante MSc en art visuel Équipe de Montage sonore et vidéo pour oculus 360 : Joel Lehman, Yassine Ahmad et Serge Fortin Guides et figurants: Personnel du Service de diagnostic de la Faculté de médecine vétérinaire et du MAPAQ. Administration : Cécile Crost Coordonatrice du CRIPA

Quand certaines maladies ne sont pas encore diagnosticables par des tests sur salive, urine, fèces, sang ou sont même inconnues, on doit prélever des organes et les analyser à la suite d'une autopsie pour ensuite établir la cause de la maladie. Visitez la salle de nécropsie avec des techniciens en santé animale et des vétérinaires pathologistes qui y travaillent quotidiennement. Merci au support financier du CRIPA-FRQNT et du fonds de Mobilisation des connaissances - Projets spéciaux du VRRDCI - UdeM pour la réalisation de ces vidéos. Merci au MAPAQ et au Service de diagnostic de nous avoir permis de tourner la vidéo. Équipe de réalisation de l'Université de Montréal Réalisateurs : Dre. Marie-Odile Benoit-Biancamano et Pr. Olivier Asselin Scénariste, graphiste et édition vidéo : Chélanie Beaudin-Quentin, étudiante MSc en art visuel Équipe de Montage sonore et vidéo pour oculus 360 : Joel Lehman, Yassine Ahmad et Serge Fortin Guides et figurants: Personnel du Service de diagnostic de la Faculté de médecine vétérinaire et du MAPAQ. Administration : Cécile Crost Coordonatrice du CRIPA

Visite de 3 laboratoires de diagnostic en médecine vétérinaire. L'exemple d'une maladie infectieuse du porc causé par la bactérie Streptococcus suis est illustré tout le long des 4 vidéos de la visite en 360 degré. Merci au support financier du CRIPA-FRQNT et du fonds de Mobilisation des connaissances - Projets spéciaux du VRRDCI - UdeM pour la réalisation de ces vidéos. Merci au MAPAQ et au Service de diagnostic de nous avoir permis de tourner la vidéo. Équipe de réalisation de l'Université de Montréal Réalisateurs : Dre. Marie-Odile Benoit-Biancamano et Pr. Olivier Asselin Scénariste, graphiste et édition vidéo : Chélanie Beaudin-Quentin, étudiante MSc en art visuel Équipe de Montage sonore et vidéo pour oculus 360 : Joel Lehman, Yassine Ahmad et Serge Fortin Guides et figurants: Personnel du Service de diagnostic de la Faculté de médecine vétérinaire et du MAPAQ. Administration : Cécile Crost Coordonatrice du CRIPA

L’utilisation préventive d’antibiotiques au couvoir était pratique courante dans l’industrie avicole pour : 1. Diminuer la mortalité en début d’élevage 2. Prévenir l’omphalite causée par une infection à Escherichia coli (ExPECs) mais dans le nouveau contexte de réduction des antibiotiques, les pratiques au couvoir changent. Pour consulter la suite, rendez-vous au https://www.cra-fmv.org/axe-4.

Hypothèse de l'axe Le retrait des antibiotiques en aviculture diminuerait la pression de sélection et donc le nombre de bactéries résistantes aux antibiotiques. L’arrêt de l’utilisation d’antibiotiques chez les animaux de consommation permettrait de préserver l’efficacité d’antibiotiques pour usage vétérinaire et des antibiotiques similaires chez les humains. Pour consulter la suite, rendez-vous au https://www.cra-fmv.org/axe-3.

Pourquoi cela semble si difficile pour certains éleveurs de faire du poulet sans antibiotiques? Serait-ce lié à la survie de la bactérie et à son mode d’action dans l’intestin du poulet? Tout d’abord, sachez que Clostridium perfringens est une bactérie à Gram-positive, qui préfère croître en milieu intestinal dépourvu d’oxygène. Par contre, si les conditions dans lesquelles elle se trouve ne sont pas optimales dans le poulailler, elle passera en mode protégé, sous forme de spore, qui peut résister et survivre des années dans l’environnement. Elle retrouve sa forme infectieuse au retour des conditions optimales à sa croissance. Cette particularité explique pourquoi, lorsqu’elle est installée dans un poulailler, elle peut perdurer des années. Pour consulter la suite, rendez-vous au https://www.cra-fmv.org/axe-2.

Le projet de recherche sur la réduction des antibiotiques est initié par Dr Martine Boulianne et Dr Éric Parent, de la Chaire en recherche avicole (CRA) de l'Université de Montréal. _ _ _ _ L'objectif principal de cet axe est d'évaluer à la ferme deux stratégies de réduction de l’utilisation des antibiotiques en comparaison à l’approche conventionnelle de l’utilisation des antibiotiques. 1. Comparer les performances zootechniques 2. Comparer la présence de maladies intestinales et la quantité de pathogènes intestinaux 3. Caractériser la variation du microbiote bactérien caecal Pour consulter la suite, rendez-vous au https://www.cra-fmv.org/axe-1.

Conseils pratiques pour faire des prélèvements de selles et analyser les résultats du service de diagnostic. Pour en savoir plus consultez les fiches et capsules disponibles sur le site http://servicedediagnostic.com/personnel-et-laboratoires/laboratoire-de-parasitologie/parasites-des-moutons-au-paturage/

Description des tests de détection des parasites. Dans cette capsule, l'Équipe du service de diagnostic vous présente le Test du Wisconsin disponible pour un individu ou pour analyser un groupe d'animaux d'un même troupeau. Pour en savoir plus consultez les fiches et capsules disponibles sur le site http://servicedediagnostic.com/personnel-et-laboratoires/laboratoire-de-parasitologie/parasites-des-moutons-au-paturage/

Doctor Honoris Causa to Professor Marcelo Gottschalk by promotor Professor Freddy Haesebrouck. #diesnatalisugent

Although antibiotics provide a treatment option for Streptococcus suis — a common, widespread bacterium in swine — long-term management hinges on an effective vaccine. Add in the prospect of growing limitations on antibiotic use and it’s increasingly important to focus on controlling Strep suis, as well as other pathogens, said Mariela Segura, PhD, immunologist in the pathology and microbiology department at the University of Montreal.

Le refuge est un réservoir de parasites qu’on veut sensibles à un vermifuge (non résistants). Autrement dit, il correspond aux parasites qui n’ont pas été exposés au traitement anthelminthique, ces parasites pouvant se trouver dans les animaux ou sur les pâturages. Pour en savoir plus consultez les fiches et capsules disponibles sur le site http://servicedediagnostic.com/personnel-et-laboratoires/laboratoire-de-parasitologie/parasites-des-moutons-au-paturage/

Il y a beaucoup d'avantages à utiliser les pâturages pour alimenter les ovins : - Affouragement direct et naturel ; - Mode de vie plus proche de leur nature d'herbivores ruminants ; - Meilleures conditions pour optimiser la santé et le bien-être. En revanche, les moutons au pâturage sont plus exposés aux parasites internes, notamment à ceux de la famille des nématodes. Il est donc important de contrôler ces parasites gastro-intestinaux avec un bon programme de gestion intégrée. Ainsi, on limite la charge de parasites sur la ferme à un niveau affectant minimalement la santé et la productivité des animaux, tout en s'assurant de ne pas contribuer à induire l'émergence d'une résistance aux médicaments anthelminthiques chez les parasites. Pour en savoir plus consultez les fiches et capsules disponibles sur le site http://servicedediagnostic.com/personnel-et-laboratoires/laboratoire-de-parasitologie/parasites-des-moutons-au-paturage/

Le bien-être et la santé animale peuvent bénéficier des innovations issues de la recherche! En plus des stratégies de réduction des antibiotiques, la recherche s’active à développer de nouvelles alternatives.

Pour réduire les infections et ainsi limiter l'usage des antibiotiques, il faut miser sur des mesures préventives efficaces, comme une bonne régie d'élevage, l'établissement de normes de biosécurité et la vaccination.

SAVIEZ-VOUS QUE... Au Québec, il faut obligatoirement une prescription d’un vétérinaire, pour donner un antibiotique à un animal. Depuis, 2013, une stratégie provinciale pour usage judicieux des antibiotiques est en place et chaque médecin vétérinaire a été formé en ce sens. La prescription vétérinaire se conforme à une liste de médicaments classés selon 4 catégories d’importance en médecine humaine. Les deux premières catégories regroupent des antibiotiques de haute et très haute importance en médecine humaine. Les vétérinaires doivent éviter de prescrire ceux de très haute importance en médecine humaine chez les animaux d’élevage. La viande que l’on consomme ne contient pas d’antibiotiques, vu l’imposition d'une période de retrait où l'animal évacue le médicament de son organisme. Le médecin vétérinaire de l’Agence Canadienne d’Inspection des Aliments fait des contrôles sur les animaux, les carcasses ou examine certains organes à l’abattoir.

SAVIEZ-VOUS QUE... Les médecins et les médecins vétérinaires doivent travailler de concert pour faire reculer l’antibiorésistance en faisant de part et d’autre un usage judicieux des antibiotiques. La recherche permet de découvrir les gènes de résistance et soutenir le corps médical dans ses stratégies de traitement.

SAVIEZ_VOUS QUE... Les antibiotiques sont utilisés pour traiter une infection bactérienne chez un animal et parfois on doit traiter tout le troupeau car l’identification des animaux malades est difficile! C’est qu’il y a souvent un grand nombre d’animaux. Les facteurs de croissance en élevage étaient utilisés dans un objectif de productivité des élevages. En 2017, les facteurs de croissance sont bannis de la production agricole, au CANADA.

SAVIEZ-VOUS QUE... Les gènes de résistance aux antibiotiques existent naturellement dans la nature mais ont été sélectionnés par l’utilisation abondante des antibiotiques par l’homme. Les gènes de résistance aux antibiotiques voyagent d’une bactérie à l’autre. Les traitements antibiotiques sont utilisés en médecine humaine et en médecine vétérinaire. Les bactéries résistantes aux antibiotiques se retrouvent maintenant assez fréquemment et on estime qu’elles seront en 2050 une cause de mortalité surpassant le cancer! Il est important de faire un usage judicieux des antibiotiques pour garder leur efficacité! L’usage sans réserve des antibiotiques favorise l’apparition de l’antibiorésistance. Les chercheurs en médecine vétérinaire et les praticiens dans ce domaine ont décidé d’être proactifs afin d’améliorer la gestion des antibiotiques chez les animaux!